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Le modèle start-up studio pour concrétiser des projets d’innovation à succès

Catherine Berruyer (à droite) avec l'équipe qui a travaillé sur le sujet d'Anthogyr

« Entre 80% et 90% des projets d’innovation aboutissent à des échecs »
Et cela nous concerne tous, de la start-up aux grandes entreprises.


Alors on fait quoi, on arrête tout ? Oh que non ! Nous n’allons pas faire d’une donnée, une fatalité.

Et en tant qu’irréductibles optimistes, on voit toujours les choses différemment : 20% des projets d’innovation sont des vraies réussites ! On est large !


Et voici LA nouvelle qui va forcément vous faire plaisir :
Nous avons trouvé le modèle qui permet d’augmenter considérablement vos chances
de faire partie de ces 20% : Le start-up studio !

Dont la performance s’élève en moyenne à plus de 60% de réussite.


Pourquoi ?

  • D’abord parce qu’aborder les projets d’innovation en pleine conscience des risques potentiels permet de les déjouer.
  • Ensuite parce qu’en innovation de rupture, on pense souvent que l’avantage est aux start-up du fait de leur petite taille, leur agilité et leur vitesse à saisir les meilleures opportunités. Mais comme l’explique très bien Philippe Silberzahn « il n’en est rien ! ». L’avantage est bien aux start-up mais leur force est ailleurs. Elle réside dans leur nouveauté et leur absence d’activité historique qui leur permet de définir le business model et le mode d’organisation le plus pertinent pour atteindre l’objectif visé.


Pour les entreprises en place, cela ouvre un boulevard pour regagner l’avantage : en excubant les projets d’innovation dans une structure tierce ou une entité relativement autonome ! C’est ce qu’a réalisé avec succès Nestlé avec Nespresso ou Orange avec Sosh.


Et c’est cela que nous proposons chez Waoup en tant que Start-up Studio : Tirer parti les meilleures pratiques de l’entrepreneuriat pour réaliser notre mission : « Vous aider à concrétiser l’innovation »


Et parce que « la vie c’est plus marrant, c’est moins désespérant en chantant… » Alice, Business Designer chez @Waoup, vous partage quelques-unes de ces pratiques et la façon dont nous travaillons…en chanson.

Générer des idées, les réaliser pour de vrai, faire vite pour leur donner toutes les chances de décoller… tout ça au sein d’une entreprise aux process bien huilés… vous connaissez la chanson ? 

Et si on y ajoute la notion d’innovation « de rupture » (*définition ici), malgré tout l’intérêt porté à ces démarches, c’est souvent le même refrain : obstacles techniques, résistances internes, contraintes budgétaires, surcharge, projet trop éloigné du cœur de métier… toutes les raisons sont bonnes pour décourager le plus courageux des porteurs de projets.

Et si on vous aidait à chanter « ça plane pour moi » ?
  • Tout débute par « l’envie d’avoir envie » et la détermination de « j’irai au bout de mes rêves »
    Comme expliqué dans notre article innover en mode Start-up, oubliez le monde d’emploi, la clé c’est le mode d’envie : l’engagement et l’énergie que l’on met dans un projet comme le carburant dans une machine à faire des merveilles.
  • Ensuite « Il suffira d’une étincelle » 
    Comprendre le marché, ses évolutions, les signaux faibles pour saisir les meilleures opportunités. Si on veut vraiment renverser la table il faut oser tout bousculer. On vous apporte alors un regard nouveau et différent pour repenser le cœur de l’offre, les canaux de distribution, le modèle économique.

  • Comme seul on pense aller plus vite mais ensemble on va plus loin, il faut alors « Allumer le feuuuu »
    Mobiliser les troupes, engager au maximum autour du projet, et à tous les niveaux, car l’innovation est une aventure collective ! Le marathon d’innovation made in Waoup, atelier créatif fun et décalé, est un excellent moyen de libérer l’énergie entrepreneuriale, bénéficier des regards croisés, générer un tas d’idées et surtout créer l’adhésion qui nous fera accélérer et prendre de nombreux raccourcis pour la suite !

  • « Pierre après pierre, jour après jour »
    De l’idée, on designe le business dans toutes ses dimensions avec des allers-retours terrain pour mieux le dérisquer : solution, structure de revenus, stratégie d’accès au marché, design to cost…
  • « Fais comme l'oiseau, ça vit d'air pur et d'eau fraîche un oiseau » et éviter le piège de « Je me voyais déjà en haut de l’affiche »
    Last but not least, on offre au projet un cadre opérationnel qui libère le projet autant qu’il le protège (Intrapreneuriat, excubation, spin-off, joint-venture, start-up, nouvelle BU…) et dans lequel agilité et frugalité sont de mise pour aller vite et limiter les risques humains et financiers tant que le projet n’a pas démontré son modèle.
    Quand le projet commence à décoller, il faut redoubler d’attention car c’est à ce moment-là que de nouveaux défis surgissent, que tout devient dur et que les 80% d’échecs se confirment. En plus d'une organisation libératrice, il faut des équipes adaptées avec la bonne posture et les bonnes compétences, capables d’anticiper, de continuer à tester, à apprendre et ajuster la trajectoire pour éviter de se retrouver trop rapidement à chanter « I willl survive » ou « Résiiiiiste ». (Pour en savoir + : Comment éviter que les POC fassent PLOUF ? Par Ici).

  • 2 issues possibles : « We are the champions » ou « Non je ne regrette rien » 
    Dans le meilleur des cas ça marche ! La solution a trouvé son marché, l’équipe s’est structurée, le pipe business est amorcé. C’est le moment pour nous de vous laisser voler de vos propres ailes (Exemple : Proxity by EDF) Dans d’autres cas, les projets d'innovation peuvent échouer. Alors oui, l’échec c’est génial : on apprend plein de choses…. mais l’échec a un coût ! (Exemple d’apprentissage et retour d’expérience : Série WESK)

Télécharger le communiqué de presse

Fans de blind test, qui a trouvé toutes les réf ? 


Et vous qui menez des projets d’innovation, vous en êtes-où ? Quels sont vos plus grands défis ? Les idées que vous peinez à concrétiser ? Les actifs opérationnels qu’il vous manque pour y arriver ? 


« Et c’est le temps qui court, qui court » 
Parlons-en, nous pouvons sûrement vous aider ! Et vous faire gagner du temps ! ;) 
Contacts Alice : alice.delcourt@waoup.com / https://www.linkedin.com/in/alicedelcourt/ / 06 43 97 02 48

Appel aux visionnaires court-termistes !

Voici les prochains défis auxquels nous nous attaquons en matière de solutions à court terme pour les entreprises industrielles en transition responsable. Faîtes-nous signe pour les relever avec nous !


Si la sobriété énergétique, ça vous enivre :

  • Comment fluidifier le financement des investissements des projets de sobriété énergétique ?
  • Comment assister les industriels dans la rénovation énergétique de leurs entreprises ?            

#inno-commerciale #inno-BusinessModel

Si la circularité vous fait tourner en rond :

  • Comment déployer des activités de réparation, de reconditionnement, de recyclage, au plus près des clients ?

#collaboration #chainedevaleur #mutualisation

Si dans « éco-conception », vous entendez éco-logique et éco-nomique :

  • Comment faciliter le remplacement de matières premières non durables par des matériaux responsables ?

#collaboration #mutualisation

Partage de Henri Coron, co-fondateur de Shaary By Wesk, pour conclure cette série de 5 épisodes : 

 

"Les indispensables d’un projet d’innovation entrepreneuriale :

1. Trouver un marché, nous l’avions identifié 

Waoup avait sourcé le micro-véhicule adapté pour développer l’autopartage dans les grandes Métropoles qui veulent désengorger le trafic urbain et trouver un complément aux Transports Publics. Le marché et la solution, nous l’avions ! 

 

2. Constituer une équipe complémentaire et efficace, nous l’avions et elle avait fait ses preuves 

 Autour de Christophe Sapet nous avons constitué une équipe qui se connaissait bien depuis Navya, qui maîtrisait à la fois la création d’entreprise et l’accession au marché potentiel, et qui devait connaître et maîtriser les enjeux de la mobilité urbaine.

 Cette équipe, nous l’avions avec Lionel Collot au service client et sourcing applications, Liyes Haddad au sourcing plateforme et maintenance, Diego Isaac au Digital Marketing à la conquête des utilisateurs, moi-même à l’obtention des labels d’autopartage et relation avec les Métropoles et Christophe Sapet au pilotage du projet financier et de la stratégie dans les choix qui se proposaient à nous.

 Nos choix de plateformes et services cochaient toutes les cases du rapport rendu par l’ADEME sur l’autopartage à mettre en place dans les Métropoles.

 

3. Le « time to market », nous pensions qu’il était imminent 

 La rapidité avec laquelle nous avons fait adhérer les primo-investisseurs, suscité l’enthousiasme des partenaires pour déployer 3 villes (Marseille, Nice etStrasbourg) et obtenu les labels à Lyon en seulement 1 an est le développement le plus rapide du marché existant à l’époque de notre lancement. Tous les feux étaient au vert : les lois votées pour la mobilité dans les Métropoles corroboraient avec notre stratégie et notre développement, la mini crise pétrolière, la montée en flèche du prix à la pompe, etc., bref « y avait plusqu’à/faut qu’on ».

 

4. Alors Pourquoi a-t-on dû arrêter Shaary by Wesk ?

 La levée de fonds prévue dans notre plan fin 2022 n’a pu se faire d’abord car le contexte économique s'est refroidi avec la guerre en Ukraine et un climat d’incertitudes s’est installé chez les investisseurs du marché.

 L’autre raison, que l’on n’avait pas vu du tout, est que les français sont «encore» très attachés à leur voiture individuelle quoiqu’il en coûte et nous n’avons pas trouvé assez vite notre marché utilisateur."

 

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With great powers comes great responsabilities

Plus que jamais, les fonctions innovation & open innovation ont l’avenir de leur organisation entre les mains. Elles doivent ouvrir la voie vers un futur enthousiasmant et impulser les nouveaux modèles qui assureront leur pérennité.
Sauf que...

80% des projets d'innovation s'arrêtent au POC

Alors oui, l’échec c’est génial : on apprend des choses…. mais l’échec a un coût !

Un projet qui s’arrête au milieu du guet c’est :
  • du cash gaspillé
  • des équipes démoralisées
  • du temps perdu
  • un futur hypothéqué

Pourquoi est-ce si dur de transformer un POC en business solide ?

Comme toujours, il y a 3 raisons…

1

C’est vraiment,
mais vraiment dur

Après le POC, absolument TOUT devient difficile… en même temps.

De la même manière qu’il y a une “vallée de la mort” à partir du TRL 4-5
-technology readiness level : lorsque la technologie est déjà suffisamment avancée pour sortir du scope de la recherche académique mais qu’elle n’est pas assez mature pour l’industrie-

… il y a une vallée de la mort pour toutes les dimensions du projet :
marketfit, conception produit, opérations, finance, team…

Si un seul chantier échoue, c’est tout le projet qui tombe à l’eau

2

Un chef de projet n'est pas un entrepreneur

Un chef de projet : a une fiche de poste précise, sait naviguer dans sa hiérarchie, a des process à respecter et plein d’autres projets à faire réussir en parallèle…
Un entrepreneur : raisonne en perte acceptable, transforme toutes les difficultés en opportunité, prend les chemins de traverses, met les mains dans le cambouis au-delà de son champ de responsabilité… et n’hésite pas à faire pivoter la vision du projet pour l’adapter aux attentes du marché

3

Le projet se retrouve seul contre tous

Plus personne ne veut soutenir le projet :
L’open inno considère qu’elle a terminé son job, le projet est encore trop risqué pour le venturing, pas assez mature pour les BU et pas compliant pour le DAF…

Et en plus personne n’est d’accord au sein du groupe : il y a conflit de gouvernance, d’orga, d’intérêts…

D’un coup le projet devient un caillou dans la chaussure pour tout le monde…
C’est tellement plus simple de tout arrêter.

Alors comment faire ?

Dérisquer le projet pas à pas en suivant un workflow entrepreneurial exigeant & rigoureux

Faire avancer toutes les dimensions du projet par sprints parallélisés de milestones clés en milestones clés
Valider les hypothèses au fil de l’eau par des aller-retours terrains-marché permanents
Piloter par les risques avec une approche effectuale
Adopter un formalisme tourné investisseur pour pouvoir décider rationnellement… en lien avec la gouvernance (GO/NOGO)

Mobiliser le meilleur moteur entrepreneurial à chaque étape de développement du projet

Engager des entrepreneurs ayant une connaissance et une expérience profonde du secteur, un réseau unique (collaborateurs, fournisseurs, clients, investisseurs…) et une détermination sans faille, qui sont des actifs centraux du projet.
Faire évoluer le leadership du projet…ceux qui conçoivent, ceux qui expérimentent, ceux qui passent à l’échelle…ont des compétences et postures très différentes.
Désynchroniser le projet des porteurs pour s’autoriser des pivots tout au long du projet.
Aligner progressivement les intérêts de l’équipe leader avec le projet.

Donner au projet l’espace nécessaire pour faire ses preuves à l’abri de l’organisation

Finances : Projeter une roadmap d’investissement pré-cablée pour les différentes phases : qu’est ce qui relève des opex vs. des capex ? de l’interne vs. de l’externe ? Qu’est-ce qui peut être mutualisé ? Quels effets de leviers activables ? …
Juridique-administratif-qualité : Créer une structure éphémère pour fonctionner hors process (contrats, achats, qualité) et sous le radar (marque blanche…) le temps de démontrer le modèle pour éviter de passer l’équivalent du budget de développement en mise en conformité…!
Physique : Sortir le projet de l’organisation physiquement pour protéger le quotidien du projet des interférences inutiles et le focaliser sur les défis à relever.
Gouvernance : Construire des passerelles entre l’interne et l’externe pour faire bénéficier le projet des actifs de l’entreprises : réseau, compétences, tech…

Ils nous ont fait confiance pour lancer leurs projets

Labeyrie – Bouygues Construction – EDF – Valeo – Carte Noire – Kronenbourg – Vicat – Seb – Bledina

On vous explique comment ça s’est passé pour eux

…et comment ça pourrait se passer pour vous
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Comment sortir vivant de la jungle du Retail en 2024 ?

Surprise ! On vous a préparé un quiz à la fin pour voir si vous avez tout suivi !
Depuis 10 ans, on accompagne des entreprises sur ce sujet. On vous livre nos meilleures astuces, ce qui a marché pour réussir un projet DtoC !

81% des consommateurs achèteront en
Direct-to-Consumer (D2C)

en 2025

Source : Etude DNG juillet 2022
Le problème... ?

Les intermédiaires
contrôlent le terrain !

Ils dévorent votre marge

Et l’inflation n’arrange rien !

Ils mettent la data client sous verrous

Et ils les exploitent !

Ils contrôlent la relation client dès les premiers abords

Et les connaissent bien mieux que vous !

Ils influencent votre image

Et ça ne joue pas en votre faveur !

Ils ne sont pas alignés avec vos convictions

Et vous éloignent du modèle responsable rêvé !

Alors concrètement, comment on s’y prend ?

La réponse qu’on entend le plus :
« Nous allons créer notre site e-commerce » C’est bien… mais pas top !

La recette magique ne fonctionne plus !

Dommage ce qui était vrai il y a 5 ans ne l’est plus !
Les raisons :
Multiplication des marques en ligne
Saturation du marché digital
Hausse des coûts d’acquisition
Difficulté à se différencier et paraitre innovant
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On vous défriche le chemin

En 5 principes
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1

Il ne suffit pas d’avoir le bon produit pour pouvoir le vendre !

Au-delà du produit, quelle serait la promesse et l’expérience client qu’aucun consommateur ne pourra refuser ? La clé pour vendre en direct réside dans la réponse à cette question ! La valeur ajoutée doit être suffisante pour justifier une rupture dans les habitudes d’achat et déchainer les foules.
2

Penser omnicanalité et rentabilité pour ratisser large

Quelle stratégie d’accès au marché ? Le digital n’est pas une finalité ; les coûts d’acquisition digitaux ont explosé dépassant ceux du physique. Le pouvoir de l’omnicanalité : tirer parti du potentiel de chaque canal, physique comme digital, pour offrir une expérience globale et toucher un maximum de cibles.
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3

L’engagement : au-delà des belles promesses, de l’action !

L’art du storytelling pour montrer son engagement, c’est fini ! Les consommateurs ne sont pas dupes. Bien au-delà de l’affichage de simples valeurs, ils attendent des actions sociétales et environnementales concrètes. Chouette ! Se passer des distributeurs intermédiaires offre des opportunités infinies pour construire un modèle plus responsable (approvisionnement, production, distribution, fin de vie…) ?
4

Pas de développement sans investissement !

Toute concrétisation et déploiement nécessite des moyens ! Mais pas d’inquiétude, investissement rime aussi avec frugalité ! Anticiper les besoins et user des super-pouvoirs entrepreneuriaux permet de dénicher les financements là où jamais on aurait pensé les trouver : levée de fonds, recherche de CAPEX externes, subventions, priorisation des budgets internes… Les utiliser avec frugalité pour dérisquer pas à pas un projet permet de maximiser le succès !
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5

Qui dit nouveau modèle de vente, dit nouveaux métiers

Se passer des distributeurs nécessite d’acquérir de nouvelles compétences comme l’acquisition client, la relation client, ou encore la logistique et distribution. Parce que seul on va plus vite mais à plusieurs on va plus loin ; Et si coopérer avec de nouveaux partenaires permettait de prendre des raccourcis et explorer de nouveaux terrains de jeux ?

QUIZ

Pour devenir incollable sur le DtoC et inspirer votre business

On vous explique comment ça s’est passé pour eux

…et comment ça pourrait se passer pour vous

Le modèle start-up studio pour concrétiser des projets d’innovation à succès

Catherine Berruyer (à droite) avec l'équipe qui a travaillé sur le sujet d'Anthogyr

« Entre 80% et 90% des projets d’innovation aboutissent à des échecs »
Et cela nous concerne tous, de la start-up aux grandes entreprises.


Alors on fait quoi, on arrête tout ? Oh que non ! Nous n’allons pas faire d’une donnée, une fatalité.

Et en tant qu’irréductibles optimistes, on voit toujours les choses différemment : 20% des projets d’innovation sont des vraies réussites ! On est large !


Et voici LA nouvelle qui va forcément vous faire plaisir :
Nous avons trouvé le modèle qui permet d’augmenter considérablement vos chances
de faire partie de ces 20% : Le start-up studio !

Dont la performance s’élève en moyenne à plus de 60% de réussite.


Pourquoi ?

  • D’abord parce qu’aborder les projets d’innovation en pleine conscience des risques potentiels permet de les déjouer.
  • Ensuite parce qu’en innovation de rupture, on pense souvent que l’avantage est aux start-up du fait de leur petite taille, leur agilité et leur vitesse à saisir les meilleures opportunités. Mais comme l’explique très bien Philippe Silberzahn « il n’en est rien ! ». L’avantage est bien aux start-up mais leur force est ailleurs. Elle réside dans leur nouveauté et leur absence d’activité historique qui leur permet de définir le business model et le mode d’organisation le plus pertinent pour atteindre l’objectif visé.


Pour les entreprises en place, cela ouvre un boulevard pour regagner l’avantage : en excubant les projets d’innovation dans une structure tierce ou une entité relativement autonome ! C’est ce qu’a réalisé avec succès Nestlé avec Nespresso ou Orange avec Sosh.


Et c’est cela que nous proposons chez Waoup en tant que Start-up Studio : Tirer parti les meilleures pratiques de l’entrepreneuriat pour réaliser notre mission : « Vous aider à concrétiser l’innovation »


Et parce que « la vie c’est plus marrant, c’est moins désespérant en chantant… » Alice, Business Designer chez @Waoup, vous partage quelques-unes de ces pratiques et la façon dont nous travaillons…en chanson.

Générer des idées, les réaliser pour de vrai, faire vite pour leur donner toutes les chances de décoller… tout ça au sein d’une entreprise aux process bien huilés… vous connaissez la chanson ? 

Et si on y ajoute la notion d’innovation « de rupture » (*définition ici), malgré tout l’intérêt porté à ces démarches, c’est souvent le même refrain : obstacles techniques, résistances internes, contraintes budgétaires, surcharge, projet trop éloigné du cœur de métier… toutes les raisons sont bonnes pour décourager le plus courageux des porteurs de projets.

Et si on vous aidait à chanter « ça plane pour moi » ?
  • Tout débute par « l’envie d’avoir envie » et la détermination de « j’irai au bout de mes rêves »
    Comme expliqué dans notre article innover en mode Start-up, oubliez le monde d’emploi, la clé c’est le mode d’envie : l’engagement et l’énergie que l’on met dans un projet comme le carburant dans une machine à faire des merveilles.
  • Ensuite « Il suffira d’une étincelle » 
    Comprendre le marché, ses évolutions, les signaux faibles pour saisir les meilleures opportunités. Si on veut vraiment renverser la table il faut oser tout bousculer. On vous apporte alors un regard nouveau et différent pour repenser le cœur de l’offre, les canaux de distribution, le modèle économique.

  • Comme seul on pense aller plus vite mais ensemble on va plus loin, il faut alors « Allumer le feuuuu »
    Mobiliser les troupes, engager au maximum autour du projet, et à tous les niveaux, car l’innovation est une aventure collective ! Le marathon d’innovation made in Waoup, atelier créatif fun et décalé, est un excellent moyen de libérer l’énergie entrepreneuriale, bénéficier des regards croisés, générer un tas d’idées et surtout créer l’adhésion qui nous fera accélérer et prendre de nombreux raccourcis pour la suite !

  • « Pierre après pierre, jour après jour »
    De l’idée, on designe le business dans toutes ses dimensions avec des allers-retours terrain pour mieux le dérisquer : solution, structure de revenus, stratégie d’accès au marché, design to cost…
  • « Fais comme l'oiseau, ça vit d'air pur et d'eau fraîche un oiseau » et éviter le piège de « Je me voyais déjà en haut de l’affiche »
    Last but not least, on offre au projet un cadre opérationnel qui libère le projet autant qu’il le protège (Intrapreneuriat, excubation, spin-off, joint-venture, start-up, nouvelle BU…) et dans lequel agilité et frugalité sont de mise pour aller vite et limiter les risques humains et financiers tant que le projet n’a pas démontré son modèle.
    Quand le projet commence à décoller, il faut redoubler d’attention car c’est à ce moment-là que de nouveaux défis surgissent, que tout devient dur et que les 80% d’échecs se confirment. En plus d'une organisation libératrice, il faut des équipes adaptées avec la bonne posture et les bonnes compétences, capables d’anticiper, de continuer à tester, à apprendre et ajuster la trajectoire pour éviter de se retrouver trop rapidement à chanter « I willl survive » ou « Résiiiiiste ». (Pour en savoir + : Comment éviter que les POC fassent PLOUF ? Par Ici).

  • 2 issues possibles : « We are the champions » ou « Non je ne regrette rien » 
    Dans le meilleur des cas ça marche ! La solution a trouvé son marché, l’équipe s’est structurée, le pipe business est amorcé. C’est le moment pour nous de vous laisser voler de vos propres ailes (Exemple : Proxity by EDF) Dans d’autres cas, les projets d'innovation peuvent échouer. Alors oui, l’échec c’est génial : on apprend plein de choses…. mais l’échec a un coût ! (Exemple d’apprentissage et retour d’expérience : Série WESK)

Appel aux visionnaires court-termistes !

Voici les prochains défis auxquels nous nous attaquons en matière de solutions à court terme pour les entreprises industrielles en transition responsable. Faîtes-nous signe pour les relever avec nous !


Si la sobriété énergétique, ça vous enivre :

  • Comment fluidifier le financement des investissements des projets de sobriété énergétique ?
  • Comment assister les industriels dans la rénovation énergétique de leurs entreprises ?            

#inno-commerciale #inno-BusinessModel

Si la circularité vous fait tourner en rond :

  • Comment déployer des activités de réparation, de reconditionnement, de recyclage, au plus près des clients ?

#collaboration #chainedevaleur #mutualisation

Si dans « éco-conception », vous entendez éco-logique et éco-nomique :

  • Comment faciliter le remplacement de matières premières non durables par des matériaux responsables ?

#collaboration #mutualisation

Partage de Henri Coron, co-fondateur de Shaary By Wesk, pour conclure cette série de 5 épisodes : 

 

"Les indispensables d’un projet d’innovation entrepreneuriale :

1. Trouver un marché, nous l’avions identifié 

Waoup avait sourcé le micro-véhicule adapté pour développer l’autopartage dans les grandes Métropoles qui veulent désengorger le trafic urbain et trouver un complément aux Transports Publics. Le marché et la solution, nous l’avions ! 

 

2. Constituer une équipe complémentaire et efficace, nous l’avions et elle avait fait ses preuves 

 Autour de Christophe Sapet nous avons constitué une équipe qui se connaissait bien depuis Navya, qui maîtrisait à la fois la création d’entreprise et l’accession au marché potentiel, et qui devait connaître et maîtriser les enjeux de la mobilité urbaine.

 Cette équipe, nous l’avions avec Lionel Collot au service client et sourcing applications, Liyes Haddad au sourcing plateforme et maintenance, Diego Isaac au Digital Marketing à la conquête des utilisateurs, moi-même à l’obtention des labels d’autopartage et relation avec les Métropoles et Christophe Sapet au pilotage du projet financier et de la stratégie dans les choix qui se proposaient à nous.

 Nos choix de plateformes et services cochaient toutes les cases du rapport rendu par l’ADEME sur l’autopartage à mettre en place dans les Métropoles.

 

3. Le « time to market », nous pensions qu’il était imminent 

 La rapidité avec laquelle nous avons fait adhérer les primo-investisseurs, suscité l’enthousiasme des partenaires pour déployer 3 villes (Marseille, Nice etStrasbourg) et obtenu les labels à Lyon en seulement 1 an est le développement le plus rapide du marché existant à l’époque de notre lancement. Tous les feux étaient au vert : les lois votées pour la mobilité dans les Métropoles corroboraient avec notre stratégie et notre développement, la mini crise pétrolière, la montée en flèche du prix à la pompe, etc., bref « y avait plusqu’à/faut qu’on ».

 

4. Alors Pourquoi a-t-on dû arrêter Shaary by Wesk ?

 La levée de fonds prévue dans notre plan fin 2022 n’a pu se faire d’abord car le contexte économique s'est refroidi avec la guerre en Ukraine et un climat d’incertitudes s’est installé chez les investisseurs du marché.

 L’autre raison, que l’on n’avait pas vu du tout, est que les français sont «encore» très attachés à leur voiture individuelle quoiqu’il en coûte et nous n’avons pas trouvé assez vite notre marché utilisateur."

 

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